La maltraitance et la négligence des enfants sont des problèmes graves qui affectent toutes les communautés, indépendamment de la religion, du niveau de revenu, de la composition raciale ou ethnique. La maltraitance et la négligence ont un impact négatif sur nos enfants jusqu’à l’âge adulte et peuvent les pousser dans un cercle vicieux d’échec et de désordre.
La première étape pour lutter contre les abus est de reconnaître
Pour lutter contre cela, reconnaissons d’abord à quoi ressemblent les abus et la négligence. Il y a l’abus physique. Il s’agit de l’utilisation intentionnelle de la force physique qui entraîne souvent des blessures visibles. Il s’agit souvent de l’abus le plus notable, car il est le plus visible. Il y a aussi l’abus sexuel. Il s’agit de toute forme de contact sexuel entre un adulte et un enfant. Cela peut impliquer des attouchements sexuels (caresses), de la pénétration, des conversations sexuelles avec un enfant et même l’exposition d’un enfant à du matériel sexuel comme la pornographie.
Voici une vidéo relatant ces faits :
Puis, l’abus émotionnel. Il s’agit de la maltraitance émotionnelle d’un enfant. C’est une méthode de contrôle en utilisant des tactiques pour critiquer, embarrasser, faire honte, blâmer ou autrement manipuler l’enfant en lui faisant croire que les choses sont de sa faute. La violence psychologique porte atteinte à l’estime de soi d’un enfant et entraîne une détresse et des troubles mentaux. Ce type d’abus est le plus difficile à signaler, car les cicatrices sont souvent internes et moins évidentes pour la personne concernée. Enfin, la négligence. C’est le fait de ne pas répondre aux besoins physiques et émotionnels fondamentaux d’un enfant. Exemples de négligence envers les enfants : refuser à un enfant un logement, de la nourriture, de l’eau, des vêtements, une éducation et/ou l’accès à des soins médicaux.
Comment contribuer à la prévenir ?
Premièrement, nous devons reconnaître les signes d’abus et de négligence et nous assurer que ces enfants échappent à leurs bourreaux avant que leur bien-être ne soit affecté. L’intervention peut atténuer les dommages et prévenir les risques futurs pour ces enfants.
Cela signifie que nous devons demander à ces enfants, ça va ? Cela semble simple, mais il peut y avoir des années et des couches de traumatismes dont ces enfants doivent se débarrasser. Ces abus ne se révéleront généralement pas avec une seule conversation. Ne laissez pas tomber l’enfant, défendez-le, continuez d’essayer, soyez un mentor pour l’enfant et faites-lui savoir que vous êtes un adulte de confiance. Espérons qu’ils s’ouvriront et que vous pourrez aller à la racine du problème. Maintenant, nous devons savoir qui et comment signaler ces crimes.
Soyez le héros dont ces enfants ont besoin
Chaque gouvernement a des lois sur la protection de l’enfance qui obligent certains professionnels à signaler leurs soupçons de maltraitance ou de négligence envers les enfants. Ces lois traitent également des responsabilités des institutions en matière de signalement, des normes de signalement, des sanctions en cas de défaut de signalement et de la confidentialité de l’identité du déclarant.
Les médecins, les enseignants, les policiers, les travailleurs sociaux et les entraîneurs sont tous des journalistes obligatoires dans la plupart des gouvernements. Si ces professionnels soupçonnent des mauvais traitements ou de la négligence, ils sont tenus de signaler ces soupçons à la protection de l’enfance ou aux forces de l’ordre.